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Le projet ECOFLUX-Bretagne propose de mettre en place un observatoire participatif en région Bretagne permettant d’évaluer l’impact des transitions socio-environnementales sur la qualité de l’eau et la biodiversité le long du continuum terre-mer, dans un contexte de changement climatique qui va devenir de plus en plus prégnant.

Campagnes de ramassage de déchets sur l’Aulne

Le site de ramassage est situé à Trégarvan, sur l’estuaire de l’Aulne maritime :

Ce projet, PLASTIC-AULNE, est financé par la ZABri (3 000 €).

Les objectifs sont les suivants :

  1. Quantifier et caractériser les déchets présents sur les berges de l’Aulne afin de mieux connaître les sources de déchets, notamment plastique et à terme de pouvoir réduire leurs quantités ;
  2. Sensibiliser, les élèves (collège, lycée) participants aux ramassages, aux transferts des pollutions terrestres jusqu’à la mer, à l’impact des pollutions sur la biodiversité, la santé… il s’inscrit de plus dans le lancement, par l’EPAGA, du dispositif « Ici commence la mer » visant à sensibiliser le grand public sur les déchets (mégots, masques, plastiques, etc…) vers les rivières et la mer via le réseau d’eau pluviale ;
  3. Nettoyer les berges de l’Aulne à court terme (via les ramassages) et sur le long terme (via la sensibilisation et des actions concrètes) ;
  4. Relancer la mobilisation des acteurs du réseau Ecoflux qui s’est arrêté en 2017 à travers un projet concret et pédagogique.

Les bilans des ramassage de déchets

 

16 juin 2022, élèves de la MFR de Lesneven :

 

12 septembre 2022, élèves du lycée de Bréhoulou à Fouesnant :

Le projet global, Ecoflux

Le programme Ecoflux, financé par le conseil général du Finistère, a débuté en 1998 suite à un constat qui était que la qualité de l’eau des rivières se dégradait, couplé à un suivi irrégulier et non normé. Il s’agissait d’un réseau d’observation participative de surveillance de la qualité de l’eau de 13 rivières finistériennes : 7 établissements scolaires et 21 bénévoles réalisaient les prélèvements hebdomadaires. Les échantillons étaient ensuite analysés en laboratoire soit à l’IUEM (SI, P) soit chez Labocéa (Ni).